L’intitulé de la loi du 2 août 2002 ne prêtait pas à confusion : il s’agissait pour le législateur d’organiser « la lutte contre le retard de paiement dans les transactions commerciales ». A diverses reprises depuis lors, retouches ou précisions ont été apportées à l’arsenal législatif en question.
La dernière d’entre elles est toute récente : issue d’une proposition de loi déposée par différents députés qui a été votée en séance plénière de la Chambre des représentants en date du 25 avril dernier, elle empêche de prévoir contractuellement un délai de paiement excédant soixante jours lorsque le créancier est une PME et si le débiteur n’est pas une PME.
Quatre brefs commentaires s’imposent :